Le 9 septembre, au Mans, MissionH24 participe à la 2e édition de la course initiée l’an passé par Squeezie, le créateur de vidéos français le plus suivi. Le programme, créé en 2018 par l’Automobile Club de l’Ouest et GreenGT, va ainsi démontrer le potentiel de l’hydrogène, tant en termes de performance que de mobilité zéro émission, aux 60 000 spectateurs attendus sur le circuit Bugatti.

11 heures, 16 heures 50, voilà les deux créneaux de piste dédiés à MissionH24 et son prototype électrique-hydrogène ce 9 septembre 2023, au Mans, à l’occasion de la 2e édition du GP Explorer, au programme toujours particulièrement dense.

Alors que la course verra 24 monoplaces (F4) pilotées par Squeezie et ses partenaires-concurrents rivaliser, une session consacrée au futur de l’Endurance et à la mobilité zéro émission est au programme avec deux démonstrations de la LMPH2G (Le Mans Prototype H2 Gazeux) sur les plus de 4 kilomètres du circuit Bugatti. Une première session est prévue à 11h00 et l’autre à 16h50.

Ce prototype électrique-hydrogène témoigne de l’engagement de l’Automobile Club de l’Ouest et des 24 Heures du Mans pour la recherche de nouvelles énergies durables, pour la transition énergétique.

Plus d’informations seront données ultérieurement sur les passagers embarqués pour cette expérience pionnière par les pilotes Stéphane Richelmi et Norman Nato.

L’an dernier, MissionH24, déjà présent lors de la 1ere édition, via l’exposition dans le village d’un prototype et d’éléments pédagogiques, avait pu échanger avec les nombreux spectateurs, sur ces enjeux cruciaux que sont la mobilité zéro émission et la transition énergétique.

 

Pierre Fillon, président de l’ACO :

« Après l’expérience de 2022, nous sommes particulièrement heureux de pouvoir participer en piste au GP Explorer avec des démonstrations de notre prototype électrique-hydrogène de MissionH24, un programme qui vise la compétition zéro émission. Le public du GP Explorer s’avère particulièrement intéressé par les nouvelles énergies, il paraissait cohérent de pouvoir leur démontrer concrètement le potentiel de l’hydrogène, en compétition, comme en mobilité plus globale, ou comme générateur de nouveaux métiers. »